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 Kurisu Erika [Terminée]

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2 participants
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Kurisu Erika

Kurisu Erika


Messages : 9
Date d'inscription : 14/02/2012

Kurisu Erika [Terminée] Empty
MessageSujet: Kurisu Erika [Terminée]   Kurisu Erika [Terminée] Icon_minitimeMer 15 Fév - 0:27

Kurisu Erika



    Kurisu Erika [Terminée] Dsf10

    Nom : Kurisu
    Prénom : Erika
    Surnom : Eri-chan
    Age : 17 ans
    Sexe : Fille
    Orientation sexuelle : Hétéro
    Classe : Maître

    Détails


    Origine : Kitsune
    Partenaire : (N'a pas encore d'Agent SS)
    Famille : Un père remarier. Mère biologique encore en vie.

    Taille : Environ 1m68
    Poids : 58 kg
    Groupe sanguin : A


    Description


    I. Psychologie :

    Concernant Erika, il est certain que nous avons affaire à un charmant spécimen de Tsundere. Aux premiers abords distante, hautaine, voire pimbêche, Erika passserait par la suite à une personnalité pour le moins "tendre" et bienveillante. Je m'explique :

    L'étudiante est rarement souriante, ni franchement bavarde. On pourrait même la constater solitaire et pourtant, ce n'est pas comme si les gens ne venait pas vers elle : Certains viennent mais se lasse facilement. Et pour cause, Erika donne inconsciemment l'impression de s'adresser à elle comme on parle à un mur. En fin de compte, c'est juste qu'elle n'aime tout simplement pas parler d'elle. Tellement réservée que la moindre information sur sa vie privée en deviendrait une découverte haut placée. Sa vie familliale, sa situation, ses amourettes ... Inconnues. Personnes n'est même certain de son orientation sexuelle. La jeune fille est plutôt banale finalement. La côtoyer d'avantage aiderait à une meilleure compréhension de cette jeune fille calme et mystérieuse. La profonde sagesse de l'adolescente se ressent déjà dans la façon dont elle s'exprime. Posée et distinguée, Erika possède une modestie naturelle qui de manière surprenante, émane une aura de clairvoyance surprenante. Erika est perspicace. Elle ressent les personnes. Un seul regard lui suffit pour assimiler autruis, d'autant plus que la première impression s'avèrera généralement incontestable.
    Peste. Egocentrique. Dépressif. Naïf. Vous l'ignoriez mais votre regard vous trahira forcément. "Les yeux sont le miroir de l'âme", Erika vous l'apprendra mieux que quiconque.

    Erika est une personne cultivée, son intelligence et sa patience dans l'appréhension d'autrui et de ses études font d'elle une femme ingénieuse et responsable. L'étudiante est également méfiante, constamment sur ses gardes. Si son entourage lui offrent volontier sa confiance, la sienne n'est pas chose facile à obtenir. Enfin, Erika éprouve une difficulté à s'exprimer sur ses propres sentiments. Ses envies, ses faiblesses, ses peurs, ses colères. La quasi-totalité est enfermée à double-tour sous cette attrayante carapace. Son sang-froid lui est également très favorable dans certaines situations, rare sont d’ailleurs les occasions de la voir en colère. Si elle ne l'a transmet pas dans les mots, l'un de ses regards "revolver" suffira à faire passer le message. Bien que si ce dernier semble ne pas être convenablement enregistré, la demi-démone n'hésitera pas à user d'une agressivité monstrueusement hargneuse...

    Vous l'aurez compris, Erika n'a pas beaucoup d'amis et ceux qu'elle peut éventuellement avoir se compte sur les doigts d'une main. Et pourtant, allez savoir pourquoi, son côté mystérieuse attire toujours les plus curieux... Pendant un temps, toujours, jusqu'à ce qu'ils s'en lasse. Elle n'a jamais connue l'amour. Erika entrevoit ce sentiment comme quelque chose d'étouffant, une maladie perfide, qui vous ronge de l'intérieur. Mais peut-ont définitivement ignorer ce que cela fait d'être boulversée par une seule personne ? Des bouffées de chaleur qui vous font rougir, un coeur prêt à bondir de sa cage thoracique... Inutile de se mentir, il est certain que dans un coin de sa tête, la jeune femme aimerait jouir de ces sensations mystiques.
    Maintenant adressons-nous à cette autre facette d'elle. Sous le masque de la Tsundere se cache une femme sensible, sincère et loyale. Son amitié est extrêmement précieuse, elle voit les promesses comme un pacte psychique qui relie deux personnes par un sentiment de confiance inébranlable. Erika est très délicate. Douce. Attentionnée et prévenante. Difficile sera de lever le voile mais sachez seulement que la glace est apte à fondre plus rapidement qu'on ne le pense, à condition de savoir correctement allouer la chaleur.

    Aime/Aime pas : Erika apprecie la musique, la lecture, l'art et le chocolat noir. Elle aime en revanche moins le vacarme et l'immaturité.
    Qualités : Intelligente, perspicace, loyale, sincère, modeste, bienveillante, douce, polie, posée...
    Défauts : De temps en temps paresseuse, frigide avec les hommes, réservée, distante, timide...

    II. Physiologie :

    Elle est là, assise à une table dans l'imposante cafétéria de la maison Ayakashi. Comme à son habitude, Erika laissait son regard balayer les tables, observant les autres pensionnaires. La jeune femme se pencha ensuite sur un livre puis, utilisa vigoureusement son crayon pour ensuite effacer quelque chose.

    Alors qu'elle se penche de nouveau sur son livre, une mèche de cheveux se libéra de l'arrière de son oreille, lui couvrant ainsi son joli profil. Ses cheveux doivent lui arrêter juste au niveau du dos, d'un brun cuivré avec l'impression d'y apercevoir quelques reflets "feuille-morte". Simplement en les regardant cascader contre ses joues blanches, à constater leur brillance et leurs teintes délicieuses , il était facile de deviner qu'ils étaient doux, soyeux et agréables au toucher. Une petite main gracile aux doigts longs et fins prends alors la mèche encombrante dans un geste délicat et la remet à sa place, derrière son oreille. Son profil en devient visible. Son teint de lait est celui d'une jeune fille en bonne santé, bien qu'il en deviendrait presque fade. Terne, sous une certaine lumière. Sa peau semble être douce elle aussi, peu d'imperfections transparaissaient.

    De fins sourcils surplombent ses grands yeux en amandes, couronnés par de longs cils et agrémentée par de curieuses pupilles. Presque grizatres au milieu de parme, un violet aux variantes captivantes. Oscillant entre le gris et le lin lorsque le temps se couvre, et un hypnotisant et déroutant améthyste lorsqu'ils s'accordent à un ciel dégagé. Son regard est fatigué, lassé. Des cernes en sont même apparantes. Non loin des pupilles, des traits en demi-lunes d'un pourpre beaucoup plus claire, caractérisent son regard au point de le rendre à la fois troublant et attrayant . De part ses ornements fascinants, vous essayez alors d'en extraire leur profondeur et leur vivacité. Un mouvement subtile de son petit nez fin pour ensuite voir un rictus discret, sourire curieusement à son livre. Ses lèvres... Juste assez charnues. Délicates. Puis elle se mise à chuchoter. A son livre, toujours. On entrevoit alors de belles dents blanches. Son cou est mince, ni trop court ni trop long, presque gracieux et ses épaules ont l'air délicates, comme si vous pourriez les lui briser en appuyant seulement un peu trop fort. Assise une jambe posée sur l'autre, un regard étranger apprécierait volontier ses jambes fines, fermes et élégantes, certainement dû au sport. Son physique est élancé, sa taille svelte assez visible sous ses vêtements pourtant simples. Le tout, agrémenté d'une délicieuse poitrine adorablement ronde. Malgré cette impression de petite taille, si vous vous rapprochiez, vous pourriez alors constater qu'elle n'est pas si petite qu'elle en a l'air.

    Concernant son apparence une fois en transe avec le démon-renard qui sommeil en elle, une transformation fulgurante change du tout au tout son apparence. A commencer par le plus frappant : ses cheveux. Après avoir doublé de longueur, la teinte cuivré de sa chevelure lisse fait place à une impressionnante crinière argentée aux ondulations exquises. Des oreilles ainsi qu'une queue de renard lui sont également attribués. Sur son front, un tatouage ovale rouge. Un étrange maquillage rouge embellit le contour de ses yeux. Nul doutes qu'elle en devient méconnaissable, seul son regard particulier permet de reconnaître la jeune femme. Enfin, Erika se voit vêtir une tenue semblable à un kimono bien plus "ahérée" (de quoi se rincer l'oeil) aux onctueuses variantes rouges et roses.

    Style vestimentaire : Eriko reste simple, sans prétentions, toujours très sobre et passe quasiment inaperçue. Elle porte son uniforme scolaire et sa garde-robe avec distinction, quoique le port de la veste qu'elle laisse tombée sur ses épaules lui donne un air négligé. Elle ne jouera pas non plus dans la provocation avec une assortiment de vêtement affriollants.

    Signe distinctif : Le motif de ses yeux précedemment décrit et la transformation radicale de ses cheveux lorsqu'elle use de ses pouvoirs.


    My story


    Histoire :

    Beaucoup de chose justifient l'attitude d'Erika et pour en expliquer les origines, il faut remonter dans son passé. A commencer par sa situation familiale. La jeune fille unique vivait avec son père, riche héritier et sa belle-mère. Remarier lorsqu'elle avait sept ans, le père d'Erika ne supportait plus la nervosité de son ex-épouse. Cette dernière avait tout ce qu'on pouvait imaginer de pire chez une femme, à savoir le défaut de jalousie, la maniaquerie, les sautes d'humeurs et cette infâme mauvaise habitude de radoter. Ce trentenaire se demande encore qu'elle mouche l'avait piqué pour épouser une telle harpie. Sauf qu'Erika, elle, était très attachée à sa mère. Nul doute qu'elle était la seule à saisir son insupportable caractère. Elle lui décelait des bons côtés, des avantages, des qualités que personnes n'auraient soupçonner. Si le couple a su se maintenir, c'était bien grâce à la chaste parole d'un tout jeune bambin qui protégeait spontanément sa mère, du haut de son un mètre trente. Cette vision positive de sa génitrice gagnait la tolérance du père or, pouvait-on lui en vouloir d'avoir une amante ?

    Erika a sept ans et découvre le temps d'une journée au parc d'attraction, sa futur belle-mère. Une femme charmante, douce et prévenante. Si elle s'était au départ présentée comme étant une collègue de son père, la surprise fut de taille lorsque son padre lui annonça la décision du divorce ainsi que le futur statut de cette nouvelle connaissance. Anéantit. Cette pauvre enfant ne supportait pas l'idée de laisser sa mère seule. Sa tristesse fut sans précédent, l'apaiser ne fut pas une mince à faire pour l'homme et sa nouvelle épouse dépassés par un chagrin aussi considérable. Ça ne pouvait se finir ainsi, où s'était donc égarer le bonheur qu'il enviait tant ?

    Le fillette grandit. La voilà au collège.
    La garde alterner entre les deux ex s'envisageait le week-end, et Erika ne ratait jamais la moindre occasion pour aller rendre visite à sa mère. Toujours seule depuis le divorce.
    La folie la rattrapait. Ses défauts s'amplifiait quotidiennement mais qu'elle importance, la petite Erika âgée de douze ans adorait sa mère. A ses imperfections elle faisait silence. A sa colère elle incitait la paix, de part son attitude calme et effacée. « Oui, maman » lui répétait-elle avec conviction de voir sa situation s'améliorer. A chacune de ses visites, le rituel fut le même. La femme la questionnait agressivement sur la nouvelle vie de son ex-mari.
    « Que fait-il !? », « combien gagne t-il !? », « et elle fait quoi sa pétasse de femme !? ».
    Erika répondait timidement à ses interrogations, à chaque fois plus nombreuses et indiscrètes. Elle écoutait ses conseils, ses paroles, ses mises en garde contre le couple. Il s'agissait-là de sa mère, que pouvait-elle faire d'autre à part la croire sur parole et lui accorder confiance ? Néanmoins à son nouveau foyer, le père qui pressentait ses manigances, s'empressait à son tours de questionner l'enfant sur l'interrogatoire habituelle de la vielle cinglée. Naturellement, son géniteur le mettait à son tours en garde contre sa mère biologique.
    « N'écoute pas ses folies ».
    Et sa mère qui le week-end prochain rétorquera « Ne lui fait pas confiance à cet escroc !! ».
    La confiance. A qui pouvait-elle l'accorder, une bonne fois pour toute ? En arrivant chez papa, que devait-elle déjà lui dire ou ne pas dire de la part de sa mère ? Puis vice-versa, encore, et encore. Sourire. Ne pas sourire. Se méfier d'un, puis finalement de l'autre. Progressivement l'enfant plongeait dans la dépression. Cette situation la dépassait et entraînait chez elle une méfiance à toutes épreuves. La Tsundere était née. Et comme si cela ne suffisait pas, l'étrangeté de son regard lui mettait à dos ses camarades. Maltraitance, injures et harcèlement morale lui pourrissait constammant sa scolarité. Après ça si on venait encore à l'a traitée de monstre...

    A seize-ans, Erika entre au lycée. Le rythme scolaire de durcit, la discipline aussi. L'avantage était que Erika s'évadait dans les études. La mémorisation de ses cours remplaçait ses souvenirs amers, ainsi elle était très bonne élève. Les adolescents sont en partie malsains et cette histoire d'yeux revenait sans cesse. Elle retrouvait alors sans difficultés les traits de personnalités de ses parents génétiques. Atroces. Immondes. Détestables. Les adultes l'étaient. Les élèves l'étaient. Le monde l'était. Une seule main salvatrice qui daignait être patiente envers cette attitude naissante : Ayase, sa belle-mère. Elle seule comprenait la détresse de la jeune femme mais chacune de ses tentatives afin de le rendre meilleur se soldait par des échecs. Erika était devenue bien trop craintive, trop renfermée et distante. Un animal sauvage. En fin de compte, c'est ce qu'elle était indirectement.

    Une Kitsune aux pouvoirs démoniaques : Tout comme ses semblables, Erika maniait astucieusement l'énergie du feu. Sa rapidité et la prise en main de l'apesanteur dans ses faits et gestes faisait d'elle une guerrière redoutable. La demi-démone use également de la télékinésie pour retourner les éléments contre ses adversaires. Enfin, elle s'arme d'un katana traditionnelle capable d'envoyer des ondes de chocs spectaculaires.

    La decision d'envoyer Erika dans la maison d'Ayakashi était indiscutable. L'adolescente elle-même ne refusa pas la decision de son père. Une fois installée, la brune imaginait que l'assurance d'une vie meilleure aux côtés de personnes similaires à elle-même l'aiderait certainement à retrouver un meilleur entrain de vivre...


    Autres...
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Dernière édition par Kurisu Erika le Mer 15 Fév - 11:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Kurisu Erika [Terminée]   Kurisu Erika [Terminée] Icon_minitimeMer 15 Fév - 12:49
Tu es validé !

Personnage intéressant et agréable à lire. Histoire tout aussi intéressante.
Il y a toutefois de légères fautes d'orthographe mais rien de bien grave.

Tu peux commenercer à rp. *w*
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